L’annuaire de la Corrèze il y a 70 ans

Un membre de notre comité nous a autorisés à scanner des pages de l’annuaire de la Corrèze, version 1943, en sa possession. Cet annuaire était édité avec l’appui de la Préfecture et en vente chez les libraires de la Corrèze (voir page de couverture ci-dessous.)

En plus de renseignements pratiques sur la localisation de chaque village corrézien ou le nombre d’habitants, il est intéressant d’y lire les renseignements donnés sur les administrations de 1943 avec, par exemple, la mise en place dans certaines communes d’une « délégation spéciale » par le gouvernement de l’époque dans les mairies.

Nous vous proposons les pages sur Objat et sur Orgnac pour commencer.

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Monsieur Julien Brunerie (1920/2013)

Le comité ANACR d’Objat déplore la perte d’un de ses plus anciens membres, monsieur Janvier, Julien Brunerie le 29 juin 2013. Il était né le 19 octobre 1920.

Représentant notre comité ce 2 juillet, jour de l’inhumation, monsieur Henri Gounet, membre du conseil départemental de l’ANACR, a pris la parole pour dresser un rapide portrait de monsieur Brunerie. Voici un extrait de ce discours:

 » 1938- 1939: la mobilisation pour les armées d’une partie du personnel de « la fusion des gaz » va contribuer à faire travailler Julien dans ce qui deviendra par la suite « l’Electricité de France ». Il y restera jusqu’à la retraite. Il occupera des postes de responsabilté à Ayen et Objat. Julien, mon camarade de travail et de syndicat pendant dix ans.

Il faut rappeler que pendant les années noires de l’occupation allemande, Julien a rendu de bons services à la Résistance  de par sa connaissance du pays et des gens et grâce à ce métier qui lui permettait de circuler. Là encore nos chemins se sont croisés.

Puis il y a une trentaine d’années, nous nous sommes retrouvés dans la continuité de la Résistance au sein de l’ANACR… »

Ci-dessous la photocopie de documents que monsieur Brunerie avait donné au comité ANACR d’Objat en 1992 lors de l’exposition sur la Résistance réalisée par monsieur Gounet, présentée dans une salle de la mairie d’Objat et vue par les scolaires des environs.

A gauche, nous avons la convocation pour le STO dès le 24/09/1943; à droite, l’ordre de mutation à compter du 04/11/1943 pour rester à « la fusion des gaz », monsieur Brunerie ayant fait partie des réfractaires au Service du Travail Obligatoire.

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Cliquer sur le document pour le voir en entier.

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Cérémonie et parcours de mémoire

A 10H, le 20 juin 2013, à l’occasion du 70e anniversaire de la création du CNR le 27 mai 1943,  le comité ANACR de Brive a participé à la cérémonie commémorative de la naissance de Jean Moulin le 20 juin 1899 dans la cour du collège Jean Moulin de Brive en présence des représentants des associations d’Anciens Combattants. D’après un ancien Résistant présent, il a été très émouvant d’entendre la Marseillaise et le Chant des Partisans  interprétés magistralement par les collégiens.

 Une visite de l’exposition de l’ONAC intitulée « Jean Moulin, un héros moderne » était ensuite prévue.

L’après-midi, une sortie scolaire « Sentiers de la Résistance » était programmée avec des personnes  ANACR-Pays de Brive pour l’ encadrement.

Elle débutait à 14H au dépôt SNCF de Brive avec l’aval de M Porte,  chef d’Etablissement de l’EIV Quercy-Corrèze  sous la conduite de M Valet, responsable communication.

Un groupe d’élèves écoutait les explications de Bernard Delaunay, président du comité Anacr départemental, sur l’activité des cheminots Résistants durant la 2ème guerre mondiale près de la « stèle en hommage à la Résistance ferroviaire 1940/1944 »  pendant que l’autre groupe  écoutait Charles Thouloumond, président  du comité Anacr de Brive qui racontait ses souvenirs des actions de résistance des cheminots des Ateliers dans le dépôt de Brive.

Serge Maury du comité d’Objat a eu le plaisir de participer à cette sortie à la SNCF, ce qui lui a permis de faire quelques photos.

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 M Delaunay devant la stèle réalisée par des cheminots.

 

 

  

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M Thouloumond devant un atelier à côté du pont tournant. Il avait 18 ans lors de ces évènements.

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Remise de prix

La remise des prix du concours de la Résistance et de la déportation 2013 a eu lieu le 18 juin à la préfecture de Tulle sous la présidence de madame le Préfet de la Corrèze, avec comme maître d’oeuvre Bernard Delaunay, notre co-président de l’ANACR Corrèze et en présence du Directeur Académique SEN ainsi que de nombreux représentants de la vie publique corrézienne et des organisations patriotiques de notre département.

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Le comité d’Objat était bien représenté cette année puisque 2 Anciens, M Gauthier et M Gounet,  étaient là, accompagnés des  2 membres du jury de ce concours. (voir article du 28/05/2013)

Après la prise de parole de monsieur Delaunay, qui a rappelé le sujet du concours de cette année et annoncé celui de l’année prochaine en donnant des pistes de réflexion, suivie du discours de madame le Préfet qui nous a captivés en dissertant sur ce sujet de l’importance de la communication tant du temps de la Résistance que de nos jours, le premier prix des devoirs individuels des lycées a été remis à Adèle Gillot d’Ussel qui a été chaudement félicitée pour la qualité de son travail.

Nous ne donnons pas la longue liste des lauréats tous dotés de livres magnifiques mais les 2 photos ci-dessous montrent la remise de prix de M Gauthier à deux élèves du lycée Danton de Brive pour un travail collectif  et ce en présence de la directrice de ce lycée puis la remise de prix de Mme Maury à Justine Picton d’Ussel pour un devoir individuel catégorie collèges en présence de madame le Maire d’Ussel.

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Claude Gauthier raconte

Précisions sur les évènements d’Orgnac données par Mr Gauthier en complément de son témoignage écrit à lire dans le livre de Mr Elie Dupuy « Le parcours d’un« terroriste » ordinaire » pages 123 à 126. [voir dans historique aussi sur ce site].

Interview réalisée chez Mr Gauthier, 87 ans, à Objat (avril 2013).

« Le 16 juin 1944, j’étais dans le pré situé près de notre maison du village de Rouffignac, commune d’Orgnac, en train de faire le foin avec mes cousins. Un voisin qui allait chercher son foin au bord de l’eau et qui avait vu que des gars du maquis étaient chez nous,  est venu taper à la fenêtre de la maison et a dit à mon père « Gauthier, les Allemands sont là ».  Mon père a pris la latte (long bâton servant pour faire avancer les vaches) et a cogné à la fenêtre en disant « Les gars, les Allemands sont dans le village. Sauvez-vous par derrière ». Les maquis sont passés par la chambre. Ils connaissaient bien la maison où ils venaient se ravitailler et se reposer. Ils sont sortis. Des Allemands sont entrés peu après et n’ont donc vu personne mais les Allemands restés dehors, les ont vu eux, et ça a commencé à tirailler.

Vue de la maison Gauthier prise en 2013.

Vue de la maison Gauthier prise en 2013.

Dans le groupe de maquis présents dans la maison à ce moment-là, il y avait Gerhard Leo, « le Rescapé » pour nous, David Jacques du bourg d’Orgnac, Jules et Gilbert.

 « Barnabé » et « Toutou » étaient repartis dans le Vaysse pour  redéposer dans une cache leurs armes qu’ils avaient avec eux au moment du repas et ils devaient revenir pour nous aider à faire le foin.

En coupant à travers le pré derrière la maison, les Allemands ont poursuivi les quatre fugitifs mais ils étaient éparpillés et les soldats ne pouvaient pas ajuster leurs tirs car ils auraient pu se blesser entre eux. Ils n’approchaient pas trop non plus des maquis car « le Rescapé » avait un très gros revolver. Il visait assez juste lui ; si bien qu’il a envoyé une balle dans le casque d’un soldat allemand. Après celui-ci me l’a montré en me disant « Terroriste, pan pan ! ». Heureusement pour nous qu’il n’a pas été tué ou gravement blessé. Sinon il y aurait eu automatiquement des représailles. C’est ce que nous a dit l’officier allemand plus tard. Les 4 garçons ont pu s’échapper.

Un soldat nous  a fait retourner vers la maison. Il nous a fait rentrer dans la grange. Mon père y était déjà retenu. Là, il y avait des soldats qui piquaient avec leurs baïonnettes  dans le foin pour voir s’il n’y avait pas des gens cachés dedans. Heureusement, ils ne sont pas montés dans la barge car il y avait là plusieurs couvertures que prenaient les gars du maquis pour aller dormir dans le foin certains soirs.

Vue actuelle de la grange

Vue actuelle de la grange

Enfin, ça s’est passé convenablement ce jour-là pour nous.

Malheureusement, pendant ce temps, Toutou s’est fait prendre en revenant du camp. Quand il s’est trouvé face aux Allemands, il s’est enfui mais il a pris la direction d’un champ de blé. Et c’est difficile de courir dans un champ de blé. On peut courir dix, vingt mètres mais après le blé se met dans les jambes. C’est ce qui lui est arrivé. Il a été entravé et les Allemands l’ont cueilli.  Barnabé a eu un meilleur réflexe ; il a pris le chemin vers le bois et a pu s’échapper.

Les Allemands ont ramené Toutou à Rouffignac, l’ont tabassé, l’ont fait parler. Ils lui ont demandé de les conduire au camp dans le Vaysse. Il les a amenés dans un camp mais volant où il n’y avait que des couvertures car ils y passaient parfois la nuit. Il a dû remonter avec tout ce barda et ils l’ont emmené avec eux à Brive.

Le 17 juin, ça a été la catastrophe. Les Allemands, peut-être une cinquantaine, sont revenus avec Toutou… et avec 2, 3 miliciens. Toutou a dit en arrivant : « Vous m’excuserez, j’ai parlé ». Car, sur lui, ils ont trouvé une lettre personnelle qui avait comme adresse notre maison. Il fallait bien que les maquis fassent adresser leurs courriers en quelque part. C’est pour ça qu’on disait « Gauthier, facteur du maquis ». Il n’avait pas détruit l’enveloppe comme il leur était recommandé.

Alors là, ça a été  la tarabustée pour tout le monde. Mon père a été défiguré. J’ai été tabassé et j’en ai encore des marques. Ma mère aussi. Ce sont les miliciens qui nous ont frappés. Il y en avait un d’Allassac qui venait régulièrement dans les bois vers chez nous pour faire de la litière de fougères. Il nous connaissait, il lui était arrivé de rentrer boire un coup. Aussi, il  est resté dans notre maison pendant que les autres miliciens et les Allemands faisaient la fouille des maisons du village. Ils ont raflé tout ce qu’ils ont pu chez Sagne, chez Comby, partout.

Ils ont emmené mon père et Toutou à Brive.

Le 18 juin, ils sont revenus sur la commune et là il y a eu du grabuge. Ils ont arrêté Clément Pichon, au Péage, ils ont arrêté Guy Pépy. Ca a été un désastre. Ils l’ont attaché par les pieds, ils l’ont traîné derrière une voiture de chez Pichon jusqu’à la carrière de la Chapoulie. Là, un officier allemand a dit « Les gars, assez. Ce qu’on a fait là, on pouvait s’en dispenser». Je sais tout ça de mon père qui était leur prisonnier depuis la veille et a vu tout ça. Guy Pépy était tellement amoché que l’officier lui a tiré une balle de revolver. Il lui a abrégé ses souffrances.

 Le 23 juin, je suis allé porter des vêtements de rechange à mon père prisonnier à Brive. Seulement, ils m’ont gardé. Deux jours après, ils ont relâché mon père. Leur but était de rafler le plus de monde possible en bonne forme pour les envoyer travailler en Allemagne. On était environ 80 à Brive dont G Comby, Dumas d’Orgnac… Ils nous ont gardé 3, 4 jours puis ils nous ont expédiés en direction de Dachau. Mais le camp de Dachau était archi peuplé. Ils n’ont trouvé ni endroit pour nous mettre ni vêtement pour nous habiller ni nourriture à nous donner et pendant 14 jours nous n’avons mangé que des biscuits que nous passait le secours national. De Dachau j’ai atterri dans un camp de travail nommé BRUCK an der MUR où je suis resté presque un an. Je travaillais avec Gaston Comby à décharger des wagons de charbon pour la fonderie Felten und Guilleaume. Il y avait plus de prisonniers que de travail à faire ici. On travaillait le matin et l’après-midi, on tournait en rond. Par contre, on n’avait vraiment pas grand-chose à manger! » 

Mr Gauthier est revenu voir les lieux en 2005 avec sa famille.

Mr Gauthier est revenu voir les lieux en 2005 avec sa famille.

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Tulle le 9 juin 2013

Comme chaque année, ce samedi 9 juin 2013, le comité ANACR-Objat était représenté aux cérémonies du souvenir de la terrible journée du 9 juin 1944 à Tulle.

photos prises par Christine Gauthier-Bravard
Philippe Bravard, (à gauche) au moment des remerciements aux porte-drapeaux de François Hollande, Président de la République.
photos prises par Christine Gauthier-Bravard
Philippe Bravard avec nos amis du comité d’Allassac et d’Argentat
photos prises par Christine Gauthier-Bravard
Philippe Bravard salué par Bernard Combes, maire de Tulle
photos prises par Christine Gauthier-Bravard
Cérémonie Tulle le 9 juin 2013

photos prises par Christine Gauthier-Bravard

 Pour rappel,

le groupe FTPFJean Robert a participé à l’attaque de Tulle des 7 et 8 juin 1944, piloté par  Jo Guérin. Barnabé , du groupe J Robert, nous a d’ailleurs raconté dans son témoignage avoir été parmi ceux qui avaient tiré avec des balles incendiaires en direction du toit de l’école normale de jeunes filles, provoquant un incendie qui obligera les Allemands à se rendre et permettra aux prisonniers des Allemands d’être délivrés. (voir dans témoignages).

Nous pouvons aussi évoquer le souvenir du « lieutenant Michel » du groupe J Robert pendu à Uzerche ce même jour (voir dans historique) ainsi que celui de Raymond Monteil et de Léon Gandreuil arrêtés en même temps sur la nationale 20 au Bariolet  par la tristement célèbre division « Das Reich » et conduits en déportation.

Enfin, dans la liste des 99 pendus de Tulle, on trouve le nom du frère aîné d’un des « gars du maquis Jean Robert »: Roger Briat, 21 ans. André Briat dit « Toutou », 20 ans, mourra criblé de balles, quelques jours plus tard (voir dans historique).

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La sortie du 25 mai 2013

A 14H30, au départ de Ceyrat de Voutezac, malgré le temps menaçant et plutôt froid, il y avait 22 personnes pour marcher sur le circuit des camps du maquis Jean Robert, toutes vivement intéressées par la narration des faits de Résistance de ce groupe d’hommes. (cliquer sur  la naissance du groupe.)

Les 3 intervenants habituels ont été écoutés et questionnés lors des passages devant les stèles des Marians, de Mario et de la Coutille. (Les emplacements)

Monsieur Gounet, ancien résistant de la 235ème compagnie, compagnie dont dépendait le groupe Jean Robert, attendait le groupe à la gare du Vaysse et a proposé le pot de l’amitié. Il était aussi présent à l’arrivée à la passerelle de Ceyrat.

D’aucuns ont demandé quand aurait lieu la prochaine randonnée et nous leur avons donné RV dans 2 ans le samedi le plus proche du 27 mai, journée nationale de la Résistance.

Des photos de cette sortie sont visibles sur le site en cliquant sur  photos. En voici une, prise près de la Loyre, avec ses eaux bien hautes. (cliquer dessus pour la voir en entier.)

 

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Concours de la Résistance 2013

  • Le 30 avril 2013, au lycée Cassin de Tulle, deux de nos adhérentes du comité d’Objat ont eu le plaisir de faire partie du jury qui avait pour mission de lire et de classer les travaux collectifs ou individuels des collégiens et des lycéens du département.

Le sujet de cette année était « Communiquer pour résister » (1940/1945). C’est un collégien de Seilhac, François Susini,  qui a remporté le premier prix avec une approche très personnelle et pertinente de ce vaste sujet.

Quant au sujet du concours pour les lycéens, toujours sur le rôle de la communication pour la Résistance, il était élargi à « l’importance civique de la communication dans les luttes contemporaines des peuples pour leur liberté et contre l’oppression ». Le devoir d’Adèle Gillot du lycée notre dame d’Ussel a conquis le jury.

D’autres devoirs ont, eux aussi, retenu l’attention du jury et les élèves concernés viendront recevoir leurs prix le 18 juin 2013 à la Préfecture de la Corrèze en présence des autorités, de leurs professeurs, de leurs familles  et aussi de Résistants et des représentants d’Associations patriotiques dont l’ANACR 19 très impliquée dans le déroulement de ce concours.

  • Le 28 mai 2013, nos deux adhérentes ont eu à nouveau le plaisir de participer au jury de ce concours, cette fois-ci pour découvrir le travail fait par des élèves de CM2, aidés de leurs enseignants. Cette réunion se déroulait dans les locaux de l’inspection académique à Tulle.

Il appartient au DASEN (Directeur académique de l’Education Nationale) de prévenir les écoles du résultat de ce concours, aussi nous ne dévoilerons aucun nom de lauréat pour le moment.

Ci-dessous, les membres du jury ( de droite à gauche, assis Mr Agnoux, Mme Foch, Mr Delaunay, Mme Maury; debout , Mme Ischard et Mme Virevialle de l’IA, Mme Bravard).

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Promenade du 25 mai

Nous sommes prêts pour la randonnée à thème « Sur le circuit des camps du maquis Jean Robert dans le Vaysse ».

L’équipe habituelle de notre comité a repris la faux, la débroussailleuse ou la tronçonneuse afin de remettre en état certaines parties du circuit qui ne servent qu’une fois tous les deux ans lors de la randonnée programmée afin de commémorer à notre façon la « Journée Nationale de la Résistance ».

Vous pouvez les voir chargeant le matériel, coupant les ronces ou réparant le gué sur le ruisseau des Marians, ruisseau bien connu de nos maquisards.

 

 

 

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Le Vaysse?

Le Vaysse est une région boisée qui s’étend sur les communes de Vignols, Saint-Solve, Voutezac et Orgnac (19). En patois corrézien, Vaysse veut dire « noisetier », arbre qu’effectivement on retrouve fréquemment sur place.

Ce site est bien connu des pêcheurs car il est traversé par la Loyre et par une multitude d’autres petits ruisseaux qui portent souvent le nom des lieux dits où ils prennent leurs sources « ruisseau de la Garédie, des prés de Panloux… »

Il reçoit la visite des chasseurs (trace de palombières), des randonneurs à pied, à cheval, en VTT qui apprécient les nombreux sentiers publics réouverts il y a plus de 10 ans par l’Amicale des sentiers pédestres de Vignols et des environs et maintenus aussi en bon état  grâce aux municipalités.

Le Vaysse

Cet endroit est un lieu d’Histoire:

  • Vous passerez à côté des « Ruines de Patel, ancien prieuré construit vers l’an 800 et démoli en 1745.
  • Au cours de la seconde guerre mondiale, il a été le décor d’évènements liés à la Résistance. (voir « randonnée » et les photos des stèles.)

Pour en savoir plus, venez à la randonnée du 25 mai 2013 sur le circuit des camps du maquis Jean Robert dans le Vaysse!

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