« Jean-Auguste Robert, né à Marseille le 4 juillet 1917, était militant communiste, parti décrété hors-la-loi dès le début de la guerre. Il a été arrêté par les autorités allemandes et fusillé à Nimes le 22/04/1943 en même temps que son ami, Vincent Faïta.
Plusieurs groupes de maquis FTPF ont pris son nom à travers la France après cette date. » (wikipédia)
A noter qu’il y a aussi un camp « Faïta » en Haute-Corrèze ce qui s’explique de par la présence du frère de Vincent Faïta, Bernard Faïta, Résistant FTP auprès de son chef de groupe Jean Robert. Il a dû quitter Nimes et est venu se réfugier en Haute-Corrèze où il a continué le combat. Nous supposons qu’il a proposé le nom de son frère et celui de Jean Robert pour désigner des groupes FTP dans notre département. (Maquis de Corrèze/ Editions Sociales 1971)
Les maquis, composés de petits groupes de 8 ou 10 hommes, sont disséminés sur les communes de la Basse Corrèze.
Un détachement du groupe « Jean Robert » se cache dans les bois des communes de Vignols puis d’Orgnac. Il y a un autre groupe du côté de Juillac.
C’est Pierre Guérin dit « Jo » qui en est le chef.
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